samedi 26 septembre 2009

La compétition stimule l’apprentissage


La compétition est évidente dans tous les domaines, qu’ils soient professionnels ou personnels. En fait, on peut dire que toute la vie est un concours, même une bataille, de s’améliorer. Sinon, l’existence sera nulle. La vie n’importerait rien si on n’essayait pas de s’élever. Et donc, la question : Qu’est-ce que l’apprentissage ?

Quand on apprend quelque chose de nouveau, on devient, soi-même, un compétiteur, cela veut dire qu’on ne pourrait pas en maîtriser si on ne se pousse pas à franchir des niveaux difficiles. Et donc, quand on cherche à être le meilleur qu’on peut, on essaie de trouver la perfection. Cette recherche ne sera jamais réaliser jusqu’à ce qu’on devienne compétiteur de soi-même, et s’évaluer et l’une des plus difficiles choses à faire.

C’est pourquoi, il arrive qu’on accepte la médiocrité au lieu d’apprendre et de découvrir d’autres domaines de connaissance. On devient paresseux et indifférent. Dans ces cas, la compétition entre des rivales est une stimulation au progrès. Quand on arrête de faire l’avancement, il faut avoir une force extérieure pour se motiver. Comme personne n’aime être le pire étudiant ou le pire employé, la compétition devient une catalyse du changement dans des carrières. Elle peut aussi créer une ambiance propice à la créativité : où des gens collaborent dans une véritable fabrique d’idées. Donc, le niveau entier de la classe ou l’entreprise sera plus élevé.

Néanmoins, trop de compétition pourrait être malsaine. Surtout, quand l’importance est donnée à l’argent ou aux bonnes notes. La joie de l’apprentissage est perdue et l’apprentissage devient une tâche très difficile à accomplir. Le stresse qui est la conséquence inévitable de cette sorte de compétition peut être la cause de la dépression ou même de la suicide. Plusieurs fois des gens abandonnent des projets contre les réactions décourageant d’autrui. Ce n’est que les plus courageux qui peuvent lutter constamment contre la déception d’un échec et contre la jalousie d’autres.

Pourtant, après tout, la compétition est souvent la cause principale d’arriver à la gloire. Quand on lutte contre soi et contre les autres pour accomplir des choses qu’on en a déjà collé l’étiquette « impossible à faire », on devient pionnier. Les plus célèbres savants, les plus célèbres sportifs et des autres vrais « stars » sont connus seulement parce qu’ils ont osé de franchir les barrières qu’avant.

jeudi 10 septembre 2009

L'argent ne fait pas le bonheur

L’histoire est caractérisée par nombreux affrontements entre «les gens qui en ont» et «les gens qui n’en ont pas». Cependant, les nuances de cette ancienne guerre ont changé. La révolution industrielle dans le XXe siècle a modifié l’écart entre ces deux groupes en introduisant une nouvelle classe : la bourgeoisie ou la classe moyenne. Ce groupe, qui avait gagné l’argent en travaillant, pouvait et voulait avoir accès aux avantages de la haute société. Par exemple, l’accès à l’éducation, qui était le privilège des aristocratiques jusqu’à cette époque-là.

L’argent offre la capacité d’avoir un cadre de vie sans soucis, la possibilité de posséder tout ce qu’on veut sans hésitation. Mais la piège est que le plus qu’on a, le plus on veut. L’être humaine est rarement satisfait n’importe si on aspire à achever la célébrité, à posséder plus de richesse ou bien tout simplement à être plus heureux. Ce dernier fait dépend de la relation entre l’argent et la valeur qu’on y associe.

D’où vient la question « est-ce que l’argent fait vraiment le bonheur ? » ou est-ce qu’il y a un concept incité par les capitalistes pour nous pousser à acheter plus en plus de choses.
Ce qui est indiscutable, c’est que la richesse joue un rôle dans notre bonheur. A part du fait que assez d’argent égale moins de soucis à propos du paiement des factures, la richesse nous présente d’autres opportunités. Si on est riche on peut profiter d’un meilleur niveau de vie. Par exemple, une meilleure éducation, des meilleurs services médicaux, etc. et un meilleur cadre de vie ouvrirait des avenues aux autres expériences : un séjour a un pays étranger pour découvrir de nouvelles cultures.

De plus, l’argent symbolise le pouvoir. On ferait mieux attention à une personne riche et qu’on croit capable de faire un changement que à quelqu’un qui est pauvre. Ce pouvoir inclut le pouvoir de faire des dons, cela veut dire que les philanthropes n’existeraient pas s’ils n’avaient pas d’argent à donner aux autres.

En revanche, ce pouvoir pourrait être abusé par des malfaiteurs en poursuivant leurs fins cruels ou égocentriques. D’ailleurs, il y a toujours la possibilité d’être corrompu par la richesse et d’en devenir obséder à tel degré qu’être avare. En ce cas, on ne peut jamais arriver au bonheur parce que le valeur de l’argent change d’un moyen d’achever un fin à devenir le fin elle-même. Et donc, l’utilité de l’argent est nulle. Ce fait est renforcé par l’autre fait que le plus qu’on a le plus qu’on veut. Cette mentalité, promue plutôt par les médias et les forces capitalistes, se manifeste dans notre société de consommation. On est mené à la croyance qu’on ne peut plus vivre sans avoir le dernier cri. On valorise de plus en plus la coûte d’une chose malgré que son importance ou le sentiment associe à elle.

Et finalement, on devrait forcément dépenser des technologies « high-tech » pour se protéger contre des voleurs qui sont crées par cette société de consommation désintéresse par la justice et l’égalité des droits d’un homme, les mêmes voleurs qui sont conduits à la mentalité de consommation par les mêmes medias. Quelle grande opportunité pour les fabricants des technologies de protection !

D’après moi, il s’agit de trouver un équilibre entre les deux bouts. Il faudrait qu’on soit assez riche de vivre confortablement, mais pas si riche qu’on oublie la valeur de travail. Quand on est habitué à un niveau de vie élevé, cela peut devenir difficile de se débrouiller sans beaucoup d’argent. Donc, tout simplement, il s’agit de comprendre la différence entre la vie de luxe à la Hugh Hefner et une vie de pauvreté comme des ascétiques

mardi 1 septembre 2009

L’Habit Ne Fait Pas Le Moine

Aujourd’hui, la fonction des vêtements est autant d’être à la mode que d’exprimer la personalité. Les vêtements, la coiffure, le maquillage, etc. d’une personne montrent une image de soi qui est la plupart de fois un effort conscient d’appartenir à un milieu ou un groupe.

S’habiller d’une façon typique à un groupe particulier signifie qu’on veut appartenir à ce groupe. Par exemple, la marque qu’on porte représente sa personalité : la marque «Chanel » représente l’élégance et le style classique. En revanche, les marques « Puma » et « Adidas » montrent une attitude sportive. Et enfin, toutes les marques mintrent la richesse, et donc, la haute société.

Cependant, on n’appartient pas à un groupe seulement en portant des vêtements spécifique. On ne devient ni Indien en portant un sari ni musulman en portant une voile, ni « intello » en portant un jean bleu et une tunique . Les caractéristiques d’un groupe ne sont pas transmis par les habits du groupe.

En revanche, les vêtements peuvent devenir un symbole d’une idéologie. Par exemple, Mahatma Gandhi a renoncé à tous les vêtements sauf un morceau de khadi pour qu’il devienne plus comme les pauvres villageois d’Inde. Également, l’habit d’un mannequin est un peu comme sa carte de visite ou une publicité. Il faut qu’on soit toujours bien habillé pour promouvoir sa carrière. En fait, dans ce cas, l’habit fait le moine !

Donc, les vêtements existent en tant qu’un symbole de la personalité ou de l’idéologie. Mais, on ne peut pas devenir une partie d’un groupe seulement en s’habillant d’une façon semblable.