En Inde, on voit souvent des enfants dans les petits cafés en nettoyant les tables, dans les trains en vendant des bibelots, ou chez des particuliers en travaillant comme des esclaves. La situation est devenue si courante qu’on ne la trouve pas bizarre. Même s’il y a des lois contre l’emploi des enfants, la majorité des Indiens sont indifférents.
Les facteurs responsables pour la continuation de la situation sont liés, non seulement aux conditions économiques et sociales des enfants, mais aussi aux celles des employeurs.
La majorité des enfants viennent des familles défavorisées et des immigrants des villages aux villes. Ajoutez le fait que les familles sont typiquement larges à cause des stéréotypes que les garçons sont mieux que les filles et la logique que plusieurs enfants font plusieurs mains-d’œuvre. De plus, les lois sociales qui exigent qu’un certain groupe ethnie suive un certain métier aussi influencent leur choix de travail.
Cependant, les enfants trouvent le travail car les riches le fournissent. Les enfants font de bons servants parce qu’ils ont peur de contrarier leurs patrons. Aussi, ils doivent travailler sans contrat et sans assurance. Donc, les patrons peuvent tyranniser les petits sans aucune contradiction. Les gens riches qui emploient les enfants se justifient en disant que chez eux les enfants ont le privilège d’un abri et de la nourriture.
Le résultat de ces injustices c’est un cercle vicieux. Dès que les enfants grandissent suffisamment, au lieu d’aller à l’école, ils doivent travailler afin de contribuer au revenu de famille. Et donc, leur cadre de vie ne change pas. Ils gaspillent leur enfance en travaillant, ils deviennent parents eux-mêmes, et leurs enfants continuent à travailler comme leurs parents travaillaient.
Le gouvernement, les ONG et les particuliers essaient d’empêcher ce cercle mais un changement absolu est difficile à réaliser. Les enfants défavorisés doivent être éduquer pour qu’ils peuvent trouver du bon travail et donc, gagner plus. Le gouvernement de sa part peut imposer les lois contre l’emploi des enfants strictement. Et finalement, il doit se focaliser sur l’amélioration du cadre de vie dans les villages pour réduire l’immigration aux villes.
Les facteurs responsables pour la continuation de la situation sont liés, non seulement aux conditions économiques et sociales des enfants, mais aussi aux celles des employeurs.
La majorité des enfants viennent des familles défavorisées et des immigrants des villages aux villes. Ajoutez le fait que les familles sont typiquement larges à cause des stéréotypes que les garçons sont mieux que les filles et la logique que plusieurs enfants font plusieurs mains-d’œuvre. De plus, les lois sociales qui exigent qu’un certain groupe ethnie suive un certain métier aussi influencent leur choix de travail.
Cependant, les enfants trouvent le travail car les riches le fournissent. Les enfants font de bons servants parce qu’ils ont peur de contrarier leurs patrons. Aussi, ils doivent travailler sans contrat et sans assurance. Donc, les patrons peuvent tyranniser les petits sans aucune contradiction. Les gens riches qui emploient les enfants se justifient en disant que chez eux les enfants ont le privilège d’un abri et de la nourriture.
Le résultat de ces injustices c’est un cercle vicieux. Dès que les enfants grandissent suffisamment, au lieu d’aller à l’école, ils doivent travailler afin de contribuer au revenu de famille. Et donc, leur cadre de vie ne change pas. Ils gaspillent leur enfance en travaillant, ils deviennent parents eux-mêmes, et leurs enfants continuent à travailler comme leurs parents travaillaient.
Le gouvernement, les ONG et les particuliers essaient d’empêcher ce cercle mais un changement absolu est difficile à réaliser. Les enfants défavorisés doivent être éduquer pour qu’ils peuvent trouver du bon travail et donc, gagner plus. Le gouvernement de sa part peut imposer les lois contre l’emploi des enfants strictement. Et finalement, il doit se focaliser sur l’amélioration du cadre de vie dans les villages pour réduire l’immigration aux villes.
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